3-8. Martin Brendel

Martin Brendel (1862–1939) a fait ses études de mathématiques et d’astronomie à Berlin, Munich, Stockholm, Paris et Londres. Il a soutenu sa thèse sur la méthode de Gyldén à Berlin (Brendel 1890), et il a obtenu son habilitation à Griefswald en 1892.

En 1894, le mémoire de Brendel fut reconnu par le prix Damoiseau de l’Académie des sciences de Paris, en réponse au sujet : “Perfectionner les méthodes de calcul des perturbations des petites planètes” (Gauja 1917, 208). Brendel fut nommé professeur assistant d’astronomie théorique en 1898 à l’Université de Göttingen, où Karl Schwarzschild assurait la direction de l’Observatoire à partir de 1901. Il a eu l’occasion d’enseigner les mathématiques d’assurance-vie et les statistiques mathématiques, ainsi que l’astronomie théorique. En 1907, Brendel devint professeur d’astronomie et de mathématiques d’assurance-vie à l’Akademie für Sozial- und Handelswissenschaften à Frankfurt a. M., et l’année suivante, directeur du nouvel observatoire dans cette même ville. À propos de la vie et les travaux de Brendel, voir Boda (1940).

Time-stamp: "24.02.2020 23:37"

Références

  • K. Boda (1940) Martin Brendel. Astronomische Nachrichten 270, pp. 278. link1 Cited by: 3-8. Martin Brendel.
  • M. Brendel (1890) Über die Anwendung der Gyldén’schen absoluten Störungstheorie auf die Breitenstörungen einer gewissen Klasse kleiner Planeten, nebst numerischem Beispiel für den Planeten 46 Hestia. Ph.D. Thesis, Universität Berlin, Berlin. Cited by: 3-8. Martin Brendel.
  • P. Gauja (1917) Les fondations de l’Académie des sciences (1881–1915). Impr. de l’Obs. d’Abbadia, Hendaye. link1 Cited by: 3-8. Martin Brendel.