Sur les courbes de Hill par Henri Poincaré11endnote:
1
La précision de cette
transcription n’a pas été validée.
1. Le mémoire le plus original qui ai paru depuis 40 ans sur la
Mécanique Céleste, est sans contredit celui que M. Hill a consacré à
l’étude des terme degré zéro dans le mouvement de la Lune et en
particulier à la variation qui est le plus important d’entre eux. Ce
mémoire a paru dans le tome 1 de l’American Journal of Mathematics et
a été reproduit dans les œuvres complètes de Hill, tome 1, page 284
(Carnegie Institution of Washington, 1905).22endnote:
2
Hill (1878a, b, c);
Hill (1905).
Supposant nulles l’excentricité de l’orbite terrestre, l’inclinaison
de l’orbite lunaire, et la parallaxe du Soleil, l’auteur rapporte la
Lune à des axes ayant leur origine au centre dela terre et tournant
avec une vitesse angulaire uniforme de façon que l’axe des x
passe constemment par le Soleil; dans cette hypothèse en effet,
l’excentricité de l’orbite terrestre étant nulle, la vitesse angulaire
du Soleil est uniforme. Il arrive ainsi aux équations suivantes :
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dont voici la signification : x et y sont les
coordonnées de la Lune par rapport aux axes tourants, est la différence de longitude des moyennes de la Lune et du Soleil, de telle sorte que :
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étant le moyen mouvement de la Lune et celui du Soleil, m est le rapport :
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x’ est la dérivée de , et les autres dérivées y’, x”, y” se définissent de la même manière, r est la distance ; h est une constante proportionnelle à la somme des masses de la Terre et de la Lune.
Si nous introduisons les imaginaires en posant :
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Ces équations deviendront :
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De ces deux équations on déduit l’intégrale de Jacobi :
Hill, élimine h entre ces trois équations et trouve ainsi :
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(4)
dont les premiers nombres sont des polynômes homogènes du second degré.
Le problème consiste à trouver une solution périodique de ces équations. Cette solution périodique doit être de la forme suivante; si l’on pose :
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On aura :
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Les coefficients sont réels; les exposants 2k+1
[illisible] toutes les valeurs
entières impaires positives ou négatives.
Il est à remarquer que les équations (4) sont plus générales que les équations (2); si l’on satisfait d’une certaine manière aux équations (2) et par conséquent aux équations (4), on satisfera encore aux équations (4) sans satisfaire aux équations (2) en changeant u, s, et c en .
Nous profiterons généralement de cette indétermination pour supposer
2.La méthode employée par M.Hill pour intégrer les équations (4) est fort ingénieuse; je vais l’expliquer ici, sans y rien changer d’essentiel, mais en modifiant notablement le mode d’exposition, ce qui est nécéssaire pour mon objet ultérieur.
Au lieu des équations(1), considérons les équations plus générales
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(1bis)
qui se réduisent à (1) quand on fait p=m. Voici quelle en est la signification physique; le Soleil est supposé très éloigné, il décrit autour du centre de gravité du système Terre-Lune un cercle de rayon très grand, et il le décrit d’un mouvement uniforme; seulement il est soumis outre l’attractionde la Terre et de la Lune à une autre force centrale de telle façon que l’on ait pas entre sa masse, le rayon de son orbite circulaire, et sa vitesse angulaire la relation définie par la troisième loi de Kepler. Les axes tournent avec une vitesse angulaire uniforme de sorte que l’axe des x passe toujours par le Soleil. Enfin la Lune, outre les forces de gravitation est repoussée par la Terre proportionnellement à la distance.
Si p=m, la force centrale complémentaire qui agit sur le Solei s’annule, de sorte que la masse du Solei, sa distance et vitesse angulaire sont liées par la troisième loi de Kepler; de plus la répulsion complémentaire de la Terre sur la Lune est nulle; on retombe sur le problème ordinaire de la théorie de la Lune et sur les équation (1).
Si m=0, l’action du Soleil sur la Lune devient nulle, la Lune n’est plus soumise qu’à l’attraction newtonienne de la Terre et à la répulsion complémentaire de la Terre; elle obéit donc à deux forces centrales, l’une proportionnelle au carré de la distance, l’autre proportionnelle à la distance. Elle est d’ailleurs rapportée à des axes tournants.
Des équations (1bis), on peut déduire :
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(2bis)
puis l’intégrale de Jacobi
(3bis)
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(4 bis) |
Il est facile d’intégrer ces équations pour m=0; partant de cette
première approximation, on cherchera à développer suivant les
puissances de m. Il arrive que les coefficients sont
développables non seulement suivant les puissances de m, mais suivant
celles de , de sorte que la convergence est extrêmement
rapide et que chaque approximation nouvelle donne cinq décimales
exactes de plus. Il ne reste plus à la fin du calcul qu’à faire p=m.
3. Pour mettre cette méthode en pratique, posons :
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(5) |
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Supposons ensuite que l’on ai déterminé :
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et que l’on se propose de déterminer . Pour cela dans les équations (4bis) substituons à la place de u, s, et C leur développement (5). Egalons ensuite les coefficients des termes en , nous obtiendront des équations de la forme :
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dont voici la signification :
et sont des combinaisons linéaires à coefficients
constants des fonctions connues , et de leur
dérivées premières et secondes; est une combinaison des
fonctions déja connues , où
(); nous pouvons écrire :
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Les coefficients étants connus, est l’imaginaire conjugué de :
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*En d’autres termes les équations (6) sont des équations linéaires à coefficient constant et à second membre. Posons
de telle sorte que soit le coefficient de dans ; égalons ensuite les coefficients de dans les deux nombres des équations (6), il viendra :
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(7)
A, B, C, D sont des polynômes en p à coefficients numériques, et étants connus, ces équations nous donneront ce qui déterminera les fonctions inconnues .
Pour k=0, il faut ajouter aux seconds membres de (7) l’indéterminée .
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De sorte que dans le cas , les équations (7) se réduiront à
ce qui détermine .
On voit par là que les sont des fonctions rationelles de p, les facteurs du dénominateur de ces fonctions ne peuvent être que le déterminant ont AD-BC des équations (7) ou d’autres équations analogues; ces facteurs n pourront donc être que l’un des polynômes
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Reprenons le développement
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et arrêtons-le à un certain terme; faisons-y ensuite
p=m; nous trouverons comme valeur approchée de
une fonction rationnelle des m ayant comme facteurs
du dénominateur :
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On aurait tort d’en conclure, comme nous le verront plus loin, que considéré comme fonction de m est une fonction mésomorphe dans une certaine étendue présentant comme singularités de simples pôles.
4.Nous venons de trouver une solution particulière des équations (4) ou (4bis) que nous écrirons
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et qui est caractérisée par ce fait que .Cette solution ne convient pas en général aux équations (2) et (2bis). Les équations (4) et (4bis) seront satisfaites également par
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à la condition de changer en . Il s’agit de déterminer de façon à satisfaire (2) ou (2bis). Pour cela, faisons ; d’où .
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Et substituons dans (2) il viendra :
ce qui détermine , puisque h est une donnée de la question, que
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sont des fonctions connues de m. On remarquera que le calcul de exige l’etraction d’une racine cubique.
5.L’étude des singularités que peuvent présenter les ou considérés comme fonction de m, peut présenter évidemment un grand intérêt, puisque les coefficients des termes d’ordre plus élevé, s’obtenant en combinant de diverses manières ceux des termes d’ordre zéro, les mêmes singularités, observées dans les termes d’ordre zéro devront se retrouver dans ceux d’ordre plus élevé.
Nous allons amorcer cette étude et nous commencerons par signaler certaines solutions particulières des équations (4) et (4bis).
Considérons les équations (2) et faisons-y , elles s’écriront
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Ce sont des équations linéaires à coefficient constant. Cherchons à les intégrer en faisant
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Il viendra :
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Cette solution ne convient pas, mais on peut en déduire la suivante
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qui convient pourvu que k soit entier impair. On voit que cette solution particulière se présentera pour les valeurs de m suivantes :
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Supposons que l’on fasse varier depuis 0 jusqu’à , comme u et s, et par conséquent x et y sont des fonctions périodiques de , le point x, y décrira une courbe fermée; ce sont ces courbes fermées que M.Hill a construites pour les petites valeurs de m; dans le cas qui nous accupe, cette courbe fermée est une ellipse.
Si on avait opéré de la même manière sur les équations (2bis), les valeurs de m qui nous auraient donné ainsi des trajectoires elliptiques auraient été données par l’équation :
6.La solution précedente satisfait aux équations (2) et (2bis) quand h=0; elle satisfait donc dans tous les cas aux équations (4) et (4bis); mais comment se comportent-t-elles vis à vis des équations (2) et (2bis) lorce que h a une valeur donnée différente de zéro. Pour nous en rendre compte, il faut revenir à l’équation (8) qui détermine .
Supposons d’abord k=1; alors notre solution particulière n’est autre chose que la solution , à la condition que l’on suppose , puisque dans le coefficient de doit être égal à 1.
Supposons d’abord h=0, on doit pouvoir satisfaire à l’équation (8) en faisant , ce qui exige que l’on ai :
(10) (pour )
équations qu’il est d’ailleurs aisé de vérifier directement. Si maintenant nous supposons que h ait une valeur donnée différente e zéro, l’équation (8) va se présenter sous la forme :
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Pour , le coefficient s’annule en vertu
de l’équation (10), nous pourrons donc l’écrire :
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ne s’annulant pas pour , le coefficient
s’annule en vertu de l’équation (10), nous pourrons donc
l’écrire :
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se comporte régulièrement pour
, ce qui montre que devient infini
d’ordre pour .
Supposons maintenant d’autres valeurs de , par exemple , d’où
. Nous avons alors :
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On voit que le coefficient de n’est pas égal à 1, mais à
zéro, mais que c’est le coefficient de ,(qui correspond
à ce que nous appelions plus haut ) qui est égal à 1. Ainsi
n’est pas la limite vers laquelle tend
pour , mais on a :
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quand m tend vers ; et croissent indéfiniment et leur rapport tend vers une limite finie .
On aura encore l’équation
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L’équation (8) prend alors la forme :
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étant régulier et ne s’annulant pas pour ; d’où enfin
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étant régulier et ne s’annulant pas pour .
7.Lorce qu’on fait varier depuis 0 jusqu’à , x et y sont des fonctions périodiques de , le point x, y décrit une courbe fermée.
M.Hill a contruit ces courbes pour les valeurs comprises entre 0 et 1,78; pour les petites valeurs de m, il s’est servi de ses développements en série; pour les valeurs plus grandes il a employé des quadratures mécaniques.
Il s’arrête pour , au moment où les trajectoires présentent deux points de rebroussements, ce qu’il appelle the moon of the maximum lunation. Il détermine par quadrature mécanique les courbes correspondants à et à ; c’est entre ces deux que se trouverait la courbe singulière correspondant à .
D’après ce que nous venons de voir, cette courbe est une ellipse, et si on veut déterminer ses dimensions absolues par le moyen de l’équation (8), on voit que ces dimensions sont infinies. Donc quand m sera très voisin de , la forme de la courbe différera très peu de celle d’une ellipse et cette courbe sera très grande. M.Hill ne pouvait s’aperçevoir de cette circontance, parce que ses intervalles n’étaient pas assez serrés, ils s’expliquent en ces termes :
We notice that the radium vector in syzygies of this class of satellite arrives at a maximum before we reach the moon of maximum lunation. This maximum value is a little less than double the radius vector of the earth’s moon. It occurs in the case of the moon has about 2,8 lunations in the period of it’s primary.
Ce dernier résultat est assez exact, puisque 2,8 n’est pas éloigné de , mais le maximum en question comme nous n’avons vu, est infini.
Qu’aurait trouvé M.Hill s’il avait poursuivi plus loin ses calculs. La connaissance de la forme de la courbe pour nous permet de le conjecturer. Ne nous occupons que de la forme de cette courbe en laissant de côté ses dimensions absolues.
M.Hill s’arrête à une courbe présentant deux points de rebroussement
sur l’axe des y (fig. 1); après il aurait trouvé une courbe avec deux
points doubles (fig. 2); puis la courbe aurait acquis deux points de
rebroussement sur l’axe des (fig. 3); nous aurions eu
ensuite une courbe avec quatre points doubles (fig. 4); puis les
branches AB et CD de la figure 4 auraient passé l’une par dessus
l’autre, de même que les branches BC et AD ce qui nous aurait donné la
courbe de la fig.5. Pour , la courbe se serait
réduite à une ellipse parcourue trois fois dans le même sens; pour
, nous aurions retrouvé la courbe de la fig. 5, etc.
Dans le cas où , les équations (2bis) et (4bis) sont susceptibles
d’être intégrées complètement. Si l’on se reporte en effet à ce que
nous avons dit au N° de la signification physique de ces équations,
on voit qu’elles représentent le mouvement d’un astre soumis à deux
forces centrales variants l’une suivant la loi de Newton, l’autre dire
cte de la distance.
Dans ce cas l’intégrale de Jacobi s’écrit :
(3ter)
d’autre part des équations (2bis) on tire :
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Ce qui correspond à l’intégrale des aires. Si nous passons aux coordonnées polaires en posant :
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ces deux intégrales deviendront :
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et enfin :
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(11) |
d’où l’on tirerait
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étant un polynôme du 6ème degré en . Soient et deux
racines de et envisageons l’intégrale :
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Les distances et correspondront aux distances
périhélie ou aphélie; de sorte que l’intégrale représente
l’angle des deux directions périhélie et aphélie. Quelle est la
condition pour que, comme nous le supposons, la trajectoire
soit une
courbe fermée admettant les deux axes comme axes de symétrie.
1° Si , c’est à dire si le polynôme P admet deux
racines égales, de telle sorte que la trajectoire soit circulaire; ce
sont ces trajectoires circulaires qui nous ont servi de point de
départ au N°; c’est à ces trajectoires circulaires que se réduisent
pour m=0, les trajectoires déterminées au N°.
2° Si ; 3° Si
, n étant entier ; 4° Si
est commensurable avec .
Je sépare avec attention ces trois derniers cas; car le premier est b
plus simple et doit attirer d’abord norte attention, et dans le
dernier cas, la courbe est fermée mais à la condition de faire
plusieurs fois le tour de l’origine.
Equations de Hill généralisées
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Multipliant par x’ et y’ il vient :
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d’où en intégrant l’intégrale de Jacobi :
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Multipliant les 3 éq par x, y et 1 il vient :
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Multipliant par y, -x et 0 :
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Les deux équations primitives deviennent :
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Multipliant par et
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Il faut donc multiplier la première éq par 2s et ajouter d’où :
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Pour identifier, il faut faire
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Pour une masse attirante tournant avec la même vitesse , mais ou on aurait :
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Supposons que h étant donné, nous ayons pour u et s des valeurs très grandes, soit :
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On devra avoir à peu près, étants très grands :
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(1)
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d’où le rapport , remarquons que k est impair. Soit la valeur de correspondante, alors est très petit; on a; en développant :
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Si est très voisin de on a sensiblement :
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et il nous faut chercher le coefficient de et , ils seront de la forme :
; a et bétants des coefficients connus puis qu’on connaît . dans ces coeff sont inversés, ce qui permet d’écrire :
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Il faut profiter de ce que n’a pas sa valeur exacte, et que n’est pas exactement . Ecrivons les premiers membres des deux éq (1).
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On a
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d’où, les deux éq :
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est donc de l’ordre de et de l’ordre .
Cela posé, faisons et cherchons l’exposant caractéristique.
Nous aurons en première approx et en seconde :
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(1 bis) |
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Si , il reste , ou
Pour , l’intégration est possible, car celà revient aux forces centrales avec des axes tournants.
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puis changeons et et développons suivant les puissances de et de .
Posons comme plus haut; (en supposant )
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1° On a (on passe de u à s en changeant en .
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3° Pour les termes en , nous poseront et nous allons déterminer d’abord .
L’équation devient : fonction linéaire de et dérivées :
On aurait pris .
Revenons à l’équation en ; on aurait déja, si sont des coeff de ; ceux de , si les mêmes coeff dans et son conjugué dans
. Soit A, B, C, D les coeff de (1) on a :
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or ; de sorte que les deux premières suffisent. Comme le déterminant , On a , il reste :
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Ce qui détermine (si n’est pas seul). Calcul de :
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Equations (2bis) pour , orbites circulaires ,
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()
Nous y satisferont en faisant , d’où :
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()
Ou bien en faisant :
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où pour , pour etc. etc.
Pour :
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Equation aux variations en tenant compte de () :
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d’où puisque ; substituons à la place des premiers nombres; il viendra :
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Appelons les coeff cela fera :
; soit , il viendra :
,
Quid si ? Il convient de faire :
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Les deux premières eq se réduisent à une, d’où trois eq pour , une indéterm [illisible] .
Soit à satisf aux éq () en faisant , il vient :
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k facile à [illisible] en fonc de p et réel.
Pour , on a , ,
d’où l’expression suivante pour et :
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, constantes d’intégration, , , ,
fonctions connues de . Valeur pour ,
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Considérons les valeurs de
, et de
, pour , et pour
; soient
ces valeurs.
Développons-les suivant les puissances de
, , , et .
Ecrivons ensuite les équations .
Corriger par 1 et conséquences multiples. Corriger aussi
le chapitre XXV.
Rechercher quel est le cas où l’exposant caractéristique = par ex
, voir si en multipliant par 3 on ne va pas avoir une
solution de période , appartenant à une série de
solutions de période , et si cette dernière série est la
continuation analytique de celle de Hill.
AD 17p. Collection particulière, 75017 Paris.
Notes
-
1 La précision de cette
transcription n’a pas été validée.
-
2 Hill (1878a, b, c);
Hill (1905).
Références
-
G. W. Hill (1878a)
Researches in the lunar theory (I).
American Journal of Mathematics 1 (1), pp. 5–26.
Cited by: endnote 2.
-
G. W. Hill (1878b)
Researches in the lunar theory (II).
American Journal of Mathematics 1 (2), pp. 129–147.
Cited by: endnote 2.
-
G. W. Hill (1878c)
Researches in the lunar theory (III).
American Journal of Mathematics 1 (3), pp. 245–260.
Cited by: endnote 2.
-
G. W. Hill (1905)
The Collected Mathematical Works of George William Hill, Volume 1.
Carnegie Institution of Washington, Washington.
link1
Cited by: endnote 2.