5-2-3. H. Poincaré à Aline Poincaré
[29.11.1873]11endnote: 1 Au verso de cette lettre on trouve une lettre de Léon Poincaré à son épouse Eugènie et à sa fille Aline.
Ma bonne Liline,
J’ai eu 20 hier en Méca; j’ai trouvé le bontoto dans son lit à 7h . Nous avons déjeûné puis nous avons été chez les Rinck où papa a refusé à déjeuner et à dîner; de là chez Mme Valette, absente, chez les Olleris, absents, puis nous avons déjeuné. Nous sommes repartis pour chez Luys qui a exhibé à papa son médecin adjoint et ses appareils de coupe microscopique; il a esquinté, Beaunis, Coze, Émile Parisot etc etc., avec l’approbation de papa et du médecin adjoint.22endnote: 2 Il s’agit d’anciens membres de la Faculté de médicine de Strasbourg qui ont trouvé des postes à Nancy suite à l’annnexion d’Alsace par l’Allemagne: Henri-Étienne Beaunis (1811–1895), Léon Coze (1819–1896), Victor Émile Parisot (1811–1895). De là nous sommes allés chez les O. Kerrins; nous avons rencontré en chemin Biel avec sa soeur et son père.33endnote: 3 Le comte John O’Kerrins-Hyde (1835–1897), époux d’Angèle, fille du comte de Nollent. M. O. Kerrins m’a invité à déjeuner pour dimanche. Nous allons aller chez M. Lecomte, puis nous irons probablement à la Gaîté. Au revoir ma bonne Liline, Henri
Poincaré
ALS 1p. Collection particulière, 75017 Paris.
Time-stamp: "27.10.2020 22:32"
Notes
- 1 Au verso de cette lettre on trouve une lettre de Léon Poincaré à son épouse Eugènie et à sa fille Aline.
- 2 Il s’agit d’anciens membres de la Faculté de médicine de Strasbourg qui ont trouvé des postes à Nancy suite à l’annnexion d’Alsace par l’Allemagne: Henri-Étienne Beaunis (1811–1895), Léon Coze (1819–1896), Victor Émile Parisot (1811–1895).
- 3 Le comte John O’Kerrins-Hyde (1835–1897), époux d’Angèle, fille du comte de Nollent.